cerises
citrons
figues de Barbarie
reine claude
raisins
grenade
noix
pêche
poires
pommes
prunes blanches
raisins
figues
mûres
Merci Ali pour ces belles photos...
Il avance triste
Dans l'aube naissante
Le pas lourd
Les joues en feu
Son pas sillonne
Trace le poids
De son chagrin
Sur les marches.
Le sol crisse
Ecrasé de douleur
Le vent chante
Flatte les feuilles
Bercées par l'aurore
Tantôt les fouette
Tantôt les caresse
Dans l'oubli du jour
Le vent chuchote
Une mélodie, une poésie
Il avance toujours
Où est la fin
Où est l’horizon
Où est le jour….
Oiseau d'amour
Seul toujours
Prisonnier du cœur
Solitaire dans sa peur
Oiseau dans la nuit
Murmure sans bruit
Un tas de merveille
Au creux de mon oreille
Tout en pleurant
Je le caresse tendrement
Oiseau qui apparaît
Comme une lueur de fée
M'apporte le rêve
Une histoire brève
Qui nait la nuit
Et à l'aube fuit...
Réfléchi, le Gémeaux est un cérébral.
Gymnastique de l'esprit et travaux manuels sont le lot du Gémeaux. En lui vivent de multiples facettes, renfermant de nombreux talents. Maître de lui ou sanguin, habile ou hâbleur, ouvert ou indépendant... Eclairé et sage, son esprit est un ravissement pour ses amis. Avec malice, il surmonte les problèmes que la vie met sur sa route. Unique, le Gémeaux est inimitable et irremplaçable. X fois plus douce est la vie aux côtés du Gémeaux. |
Dans le langage du Désert,
On dit que quand le Simoun souffle, quand il caresse les dunes, il chuchote un secret...
Immobile et silencieuse, sous la timide lune argentée, une dune attendait le vent.
Elle sentait son souffle s'approcher petit à petit, et le frisson qui l'enveloppait, soulevait le sable.
Le nuage de poussière l'aveuglait et couvrait le ciel étoilé.
Le vent, ce soir, était amoureux.... et la lune allait en être témoin...
Il s'approchait lentement de la dune, soufflait, chatouillait quelques grains de sable,
puis se soulevait à nouveau pour exécuter sa danse nuptiale...
Une chorégraphie parfaite, gracieuse, éolienne. Une cadence zéphyrienne...
De son manteau d'air, il effleurait la dune, aspirait le sable en un tourbillon vertigineux pour le lâcher en pluie de cristaux….
Étourdit la dune goûtait au plaisir de l'ivresse, ses cheveux de sable flottaient autour d'elle.
Le vent la balançait dans ses bras. Il valsait., il s'adonnait au son mélodieux du tintamarre de la poudre sablonneuse.
Au rythme du mouvement, la dune prenait des formes arabesque. Tantôt uniforme, tantôt désordonné.
Bercée d'espérance, elle n'arrivait pas à apaiser la fièvre qui la terrassait et suivre le mouvement du vent.
Dans son tourbillon, dans cette naissance d'espoir, le vent tombe, et, dans sa chute effleure la dune et dépose un baiser éternel...